
ORGANISE UNE TABLE RONDE
C'était le Samedi 18 décembre 1999 Au siège de l'Ong internationale
el taller à Tunis
Thème de la table ronde
:
"
Les alternatives
à la mondialisation financière: bilan et perspectives"
Parmi les présents
Fathi Chamkhi
, Président du RAID
Mohsen Marzouk, coordinateur du programme arabe El Taller,
Jean-Luc Cipière,
représentant Attac France, intervenant
Sami Aouadi,
Membre de la direction de RAID, intervenant
Mahmoud Ben Romdhane, Président
d'Amnesty International
Mohamed Bechri, Pésident
de la section tunisienne d'Amnesty, Faouzi Ben Mrad,
Raid, Secrétaire général de l'Ass.Tunisienne des Jeunes Avocats, Triki
Souad, Présidente de l'Ass. des femmes Tunisiennes pour la recherche et le
dév. Omar Mestiri, Sécrétaire général du
Conseil national pour les libertés en Tunisie (CNLT) Sadri
Khiari, (Raid, membre du comité de
liaison du CNLT), Ahmed Maaroufi (Raid, membre
de la direction nationale du syndicat de l'enseignement supérieur), Jlalli
Abdelhamid (Raid, secrétaire général adjoint du syndicat de la
confédération des banques), Naceur Laouini
(Raid, membre du bureau excécutif de l'Union générale des étudiants de Tunisie
-UGET-), Malek khélif (membre du comité
directeur de la Ligue tunisienne des droits de l'homme),, Mounir
Baccouche, Abdessatar El Ati (Raid,
économistes), Azzam Mahjoub (économiste), Hafidha Chékir (Raid, juriste), Nora
Borsali (Raid, membre du bureau de l'Association tunisienne des femmes
démocrates), Chokri Latif (Raid, écrivain), Sihème Ben Sedrine (Raid, éditrice), Nizar
Amami (Raid, cadre dans le syndicat des PTT) Nadia
Omrane (Raid, journaliste), Georges Adda (Raid,
consultant) Moalla Taieb (Raid, UGET)
Et plus d'une centaine de syndicalistes, d'étudiants et de démocrates.
Le débat était très animé. Plusieurs
questions ont été abordées et notamment celles concernant les répercussions de la
mondialisation néolibérale sur les pays dépendants. Le débat a porté aussi sur les
difficultés de l'émergence de la société civile dans ces pays, et les devoirs des
citoyens du Sud dans la résistance à la "marchandisation généralisée de la
nature et de la culture, des objets et des choses"